Le danger pour un visage humain est de devenir seulement image, image pour soi, mémorial. Un tel visage se fige.” Tout entier dans ce qu’il donne à voir, le visage croit ainsi se protéger de l’imprévisible, incapable d’admettre qu’il faut vivre avec soi-même et avec autrui sur le fond invisible du secret qui rend chacun singulier et irremplaçable.